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Retour au sujet ATOS

ATOS : Courrier envoyé par l'Udaac à Meunier et au CA 11.09.23

16 sept. 2023 09:42

UDAAC Union des Actionnaires dAtos Constructifs
RNA W751270784
14 Avenue de lOpéra 75001 PARIS
info@udaac.org

Mesdames et Messieurs les administrateurs dAtos
River Ouest, 80 quai Voltaire
95877 Bezons cedex
Paris, le 11 septembre 2023

Objet : Sauvegarde de lintérêt dAtos et de ses actionnaires

Mesdames, Messieurs les administrateurs,
Nous vous écrivons au nom de nos membres, des actionnaires et anciens actionnaires dAtos (la
« Société » et, ensemble avec ses filiales, le « Groupe »), qui nous ont confiés la défense de leurs intérêts. Ceux-ci sestiment gravement lésés par les agissements des directions successives de la Société et ce qui semble être la violation par la Société de la réglementation financière qui lui est applicable, cautionnée par le Conseil dadministration.
Nous vous faisons les remarques suivantes, dans lespoir de déclencher une réaction circonstanciée de la part des membres du Conseil dadministration supposés veiller aux droits et intérêts des actionnaires et de la Société conformément à leurs obligations à leur égard.

I La violation apparente par la Société de la réglementation boursière

1.Labsence davertissement sur les résultats semestriels en violation de la réglementation boursière applicable

Tout comme le reste des acteurs de marché, les actionnaires membres de lUDAAC ont pris connaissance avec stupeur, le 28 juillet 2023, des résultats du premier trimestre 2023 du Groupe, dont la publication a entraîné une chute du cours de laction de plus de 20% le jour-même et denviron 50% une semaine après lannonce.
Cette chute sexplique certainement en grande partie par la détérioration soudaine de la situation de flux de trésorerie du Groupe dans des proportions inédites : ce dernier indique avoir brûlé près dun milliard deuros au cours du premier semestre, alors que son dernier rapport annuel faisait état dun flux de trésorerie disponible négatif à hauteur de 187 millions deuros seulement pour lensemble de lannée 2022. Cette évolution est dautant plus difficile à comprendre que la Société conclut des contrats de longue durée avec ses clients, et ne devrait donc pas faire face à de telles surprises relatives à la génération de ses flux de trésorerie. Il est urgent quelle en fournisse une explication dans les plus brefs délais.
Par ailleurs, la direction de la Société na fait état daucune inquiétude sur le risque dune aggravation nette de sa situation le 7 juin dernier, lors de sa dernière présentation aux investisseurs avant la publication des résultats semestriels. Comme latteste le support écrit de cette présentation, les dirigeants se sont montrés à cette occasion excessivement optimistes revoyant même à la hausse leurs ambitions en termes de flux de trésorerie disponible à moyen terme, en dépit de ce quils connaissaient nécessairement, à ce stade, la situation véritable du Groupe, et en particulier de la branche dactivité Tech Foundations.
Indéniablement, la direction de la Société a commis une faute en refusant de faire un avertissement sur ses résultats en amont de la publication des résultats du premier semestre. Faut-il rappeler que « tout émetteur rend publiques, dès que possible, les informations privilégiées qui concernent directement ledit émetteur1 », ce qui implique notamment de mener une politique de communication claire et stable dans le temps et de publier un avertissement en cas décart entre les résultats ou autres indicateurs de performance anticipés par le marché et la situation véritable de la Société(2) ? Ces manquements relèvent à lévidence dun signalement à lAutorité des marchés Financiers.
Dans ces circonstances, il nous est difficile de croire que le Conseil dadministration de la Société navait pas connaissance des résultats catastrophiques du premier semestre quatre semaines avant la publication des résultats, cest-à-dire au moment de la tenue de lassemblée générale annuelle le 28 juin dernier. Nous ne pouvons que nous interroger sur le caractère éventuellement trompeur des informations données aux actionnaires le jour de lassemblée générale.
Lincapacité dans laquelle a été le Conseil dadministration, dimposer aux dirigeants de la Société quils communiquent en temps et en heure sur la situation financière du Groupe, ne fait que confirmer la crise extrême de gouvernance affectant la Société, crise de gouvernance déjà soulignée lors de lassemblée générale de juin dernier.
________________________________________
1 Article 17 du règlement Abus de Marché du 16 avril 2014.
2 AMF, Guide de linformation permanente et de la gestion de linformation privilégiée, DOC-2016-08, p. 19.
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2.Les imprécisions relatives aux modalités de cession de Tech Foundations
Les modalités de la cession envisagée de Tech Foundations au profit de EP Equity Investment pour un montant de 100 millions deuros (la « Transaction ») posent avec une acuité particulière la question de la sincérité de la communication financière, voire des comptes du Groupe.
Si lon en croit le communiqué de presse en date du 1er août relatif à la Transaction (très difficilement lisible, même pour des investisseurs sophistiqués), 1,9 milliard deuros de dettes au bilan (hors dette bancaire, obligataire et autres instruments financiers) doivent être pris en compte dans le prix de cession de lactivité, justifiant quil ne soit que de 100 millions deuros, compte tenu dune valeur dentreprise de deux milliards deuros qui nest pas expliquée.
La Société est on ne peut plus opaque sur la nature de ce passif qui représente pourtant 95% de la valeur dentreprise de Tech Foundations, auquel tout juste une ligne du communiqué de presse sur la cession est dédiée. Dans une présentation aux investisseurs, la Société indiquait tout au plus que les engagements au bilan transférés dun montant total de 1,9 milliard deuros étaient composés de
« provisions, leases, pensions (3) », sans quil soit fait mention dautre précision, ni de ce que ces passifs sont liés au besoin en fonds de roulement de Tech Foundations ou du Groupe.
Or, de manière aussi cryptique quexpéditive, la Société indique par ailleurs, dans son communiqué du 1er août, que la Transaction permettra d« élimer » le besoin en fonds de roulement du Groupe, post cession, à hauteur denviron un milliard deuros au cours de lannée. Lon peut imaginer que derrière lemploi de cette terminologie parfaitement ambigüe, que même les analystes les plus aguerris peinent à décoder, les « provisions » mentionnées dans la présentation aux investisseurs doivent être interprétés comme se rapportant, à hauteur dun milliard deuros, à un besoin en fonds de roulement BFR dont les comptes ne permettent pas clairement de comprendre à quelle société du Groupe il est attribuable, bien que lon soit tenté de deviner entre les lignes quil sagit de celui des sociétés faisant partie du périmètre de la branche dactivité Tech Foundations. Ce manque de clarté spectaculaire au sujet dun passif total de près de deux milliards deuros, entrant dans le calcul du prix de cession, est dautant plus choquant quil affecte lannonce dune opération présentée comme majeure pour la Société à un stade crucial de son existence.
Lampleur de lélimage du besoin en fonds de roulement (quelle que soit lentité à laquelle il est attribuable) a par ailleurs de quoi surprendre dans la mesure où personne ne sattendait à ce quil soit si important. On est en droit de se demander si les années précédentes, la Société na pas eu recours à des techniques d« optimisation » excessives du besoin de fonds en roulement lui ayant
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3/ Atos, « Atos to complete its transformation through the contemplated sale of Tech Foundations and a strengthening of its capital structure », presentation aux investisseurs, 1eraoût 2023.
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permis den masquer le montant réel jusquà la séparation des activités4. Ce constat relatif au BFR de la branche dactivité Tech Foundations nous condut à nous interroger sur lexistence dautres artifices comptables, en lien par exemple avec les engagements pris par les sociétés du Groupe au titre des contrats de prestations conclus.
En toute hypothèse, lassimilation à une dette financière du besoin de reconstitution du BFR pour les besoins du calcul du prix de cession mérite une explication détaillée5.
Dans ces circonstances, Nous vous prions donc de bien vouloir clarifier sans attendre (i) la méthode de calcul du prix dacquisition de la branche dactivité Tech Foundations, en particulier, les modalités de calcul de la valeur dentreprise et le montant et la nature des provisions venant en réduction du prix, ainsi que (ii) lorigine et la manière dont a été calculée la portion du BFR du Groupe qui serait « élimée » par leffet de la Transaction.
Une information précise sur les méthodes comptables employées par le Groupe ainsi que sur les termes et conditions de la Transaction est dautant plus capitale quelle contribuerait à expliquer :
-labandon sans préavis du projet initial de restructuration du Groupe annoncé par la Société le 14 juin 2022 et
-lannonce, désastreuse pour les actionnaires, dune augmentation de capital massive de 900 millions deuros qui navait pas-même été annoncée lors de lassemblée générale du 28 juin
Nous vous demandons expressément dapporter des précisions sur lorigine de ce passif de 1,9 milliards deuros ainsi que les autres informations nécessaires à la bonne compréhension de la transaction.
________________________________________
4/Le rapport semestriel indique ainsi en page 23 : « La contribution negative de la variation du besoin en fonds de roulement etait de 645 millions deuros (contre -383 millions deuros au premier semestre 2022). Outre la saisonnalité usuelle entre semestres, la variation du besoin en fonds de roulement a été affectee par les effets de la normalisation du fonds de roulement dans le contexte du processus de separation. »
5/ Lautre hypothèse qui circule sur les marchés (y compris au sein de la communauté des analystes) est que le Groupe est disposé à laisser dans les caisses de la branche dactivité Tech Foundations un chèque dun milliard deuros, hypothèse que nous jugeons en létat irréaliste, eu égard au montant de la trésorerie du groupe au 30 juin, du niveau de ses engagements de dettes à court terme et, des annonces concernant lemploi des fonds levés dans le cadre de laugmentation de capital à venir et de ce que la Société a annoncé décider de procéder à des cessions dactifs pour assurer sa liquidité.
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3.Les problèmes de communication sur la situation financière de la Société
Outre les problèmes identifiés dans les deux sous-sections précédentes, le service relations investisseurs de la Société ne prend même plus la peine de répondre à des questions simples, quelles lui soient soumises par des actionnaires individuels, des actionnaires institutionnels ou même certains analystes que nous avons interrogés.
Les facteurs de risques financiers de son dernier document denregistrement universel, déposé le 21 avril 2023 auprès de lAMF, tiennent par ailleurs en une demi-page à peine. Ces facteurs de risque sont nécessairement trop courts pour faire état de la situation financière véritable de la Société, nécessairement confrontée à lheure actuelle un certain nombre de risques financiers du fait de la défiance manifestée par le marché à légard de la direction et du conseil dadministration de la Société.
Il convient par ailleurs de relever quoutre les autres éléments pointés ailleurs dans le présent courrier, la Société semble entretenir volontairement la confusion sur sa situation financière. Il est par exemple significatif que la Société ne présente nulle part son EBITDA dans son document denregistrement universel 2022, semblant y préférer des terminologies alternatives dont seules les équipes de la Société ont le secret. De la même manière, la dette financière nette et les coûts de restructuration envisagés sur les douze prochains mois ne sont pas indiqués, en dépit de leur importance essentielle pour les actionnaires.
Ces éléments, qui peuvent difficilement être perçus comme des omissions involontaires, posent la question des raisons qui auraient pu pousser les dirigeants à de telles dissimulations, sans que le Conseil dadministration ait pu jusquici justifier de la moindre démarche pour prévenir ou corriger cette situation.
II Les mesures à prendre sans attendre
1. Une meilleure transparence des termes de l« accord Tech Foundations »
Compte tenu de la gravité de la situation, les documents suivants devraient être diffusés au marché sans attendre, afin que celui-ci puisse enfin se faire une idée claire de la situation de la Société :
-Laccord gouvernant la Transaction et justifiant louverture de négociations exclusives ;
-Le rapport de lexpert indépendant ayant servi dappui au Conseil dadministration pour accepter le principe dune vente de Tech Foundations pour seulement 100 millions deuros ;
-Le business plan de la Société ; et
-Les projets daccords de transition entre Tech Foundations et
Une résolution contraignante devrait par ailleurs être soumise aux voix des actionnaires à la fois sur la cession de Tech Foundations et sur laugmentation de capital après quun audit indépendant permettant aux actionnaires de se prononcer en connaissance de cause ait été effectué.
2.Lancement dun audit indépendant par les membres indépendants du Conseil dadministration
Compte tenu des réserves énumérées ci-dessus sur la qualité et la sincérité de la communication financière de la Société, il est indispensable que les membres indépendants du Conseil dadministration, chapeautés par Monsieur René Proglio en sa qualité de Président du Comité des Comptes et aidés dun cabinet daudit indépendant de renommée internationale, mettent en œuvre une mission daudit interne au sein du Groupe en vue de faire la lumière sur la situation.
Labsence de réaction du Conseil dadministration face à cette situation refléterait une défaillance majeure de plus dans lexercice par celui-ci de ses fonctions.
Il serait naturellement inacceptable que la prochaine assemblée générale soit convoquée par le Conseil dadministration sans que les résultats dun tel audit interne aient été rendus publics en amont.
3.Garantir la protection des intérêts des actionnaires dans le cadre des opérations de restructuration à venir
La réalisation dune augmentation de capital massive, annoncée par la Société le 1er août 2023, couplée à lentrée dEP Equity Investment au capital de la Société est susceptible dêtre extrêmement coûteuse et dilutive pour les actionnaires existants tout en profitant considérablement à ce nouvel entrant au capital. Cette annonce est en contradiction totale avec les propos du président qui annonçait le contraire deux mois plus tôt. En labsence dinformation adéquate sur la situation du Groupe, les actionnaires sont exposés au risque de voter une augmentation de capital sur la base dhypothèses de valorisation de la Société incorrectes, sinon faussées. Les informations parues dans la presse, si elles étaient avérées, et relatives à lattribution par lacquéreur dactions gratuites pour des montants significatifs à certains dirigeants, doivent interroger sur les potentiels conflits dintérêts, sur la pertinence des opérations menées et la crédibilité des informations fournies.
Le président nétant par ailleurs ni crédible ni audible, et en labsence de toute information vérifiée par un cabinet daudit indépendant, rien ne permet de se prononcer sur :
-La pertinence de la cession de Tech Foundations ;
-Son impact sur la création ou la destruction de valeur pour la Société et ses actionnaires ;
-La qualité de la réponse apportée aux enjeux économiques et financiers de la Société.
La Société a lobligation de fournir une information exhaustive sur les modalités de réalisation du plan de scission, de justifier le prix de cession des activités dont elle envisage de se séparer et de détailler les contreparties finacières quelles induisent ou qui lui sont imposées. Nous serons intransigeants sur le respect de lindispensable transparence dont doit faire preuve la société dans sa communication financière.
Outre les documents sollicités en II.1 ci-dessus, il conviendrait a minima de fournir aux actionnaires des comptes pro forma de la Société au 1er juillet 2023, et des comptes prévisionnels comparés, faisant lhypothèse :
-dune cession des activités de Tech Foundations ;
-du maintien de ces activités dans le périmètre actuel du groupe

4.Restaurer la gouvernance de la Société par un renouvellement du Conseil dadministration
Labsence de communication sur la situation financière véritable de la Société a empêché les actionnaires de la Société de faire le constat des défaillances manifestes de son Conseil dadministration en amont la tenue de la dernière assemblée générale annuelle, lors de laquelle ont été mises aux voix des projets de résolutions dactionnaires visant à obtenir le renouvellement partiel du Conseil.
Restaurer de bonnes pratiques de gouvernance au sein de la Société nécessiterait a minima un renouvellement partiel du Conseil, avec lentrée de nouveaux membres indépendants désignés par les actionnaires et non cooptés par le Conseil dadministration existant. Nous vous prions de bien vouloir dores et déjà réfléchir à la restructuration du Conseil dadministration, plus indispensable encore aujourdhui quavant lassemblée générale de juin dernier.
La Société dispose datouts exceptionnels à travers une base de clients de premier ordre parmi la plupart des Groupes du CAC 40, des équipes de grande qualité, des produits et services reconnus dans le monde entier, 4.000 brevets, etc.
Elle est un des leaders mondiaux de lindustrie du numérique, avec un chiffre daffaires de 11 milliards deuros et 110.000 salariés.
Elle disposait dune capitalisation boursière de 8,3 milliards deuros à la fin de lannée 2019, lors de la nomination de Bertrand Meunier à la Présidence du Conseil dAdministration, soit dix fois plus quaujourdhui. Au surplus, elle était cotée au sein de lindice CAC 40 avant den sortir en 2021.
Aujourdhui, avec un EBITDA (ou excédent brut opérationnel) de 1 milliard deuros(6) et un multiple de 8 (bas de la fourchette du secteur qui est de 8 à 12 suivant le dynamisme de lentreprise), ATOS devrait avoir une Valeur dEntreprise de 8 milliards deuros et une Valeur dEquity (ou Capitalisation) de 5,6 milliards deuros, compte tenu dune Dette Nette bancaire de 2,4 milliards deuros.
Dès lors, nous restons convaincus du fort potentiel de la Société, jusquici bridé par une gouvernance désastreuse couplée aux dommageables carences de communication financière énumérées ci-dessus. Nous apporterons notre soutien à toute solution, y compris alternative, créatrice de valeur et de pérennité pour la Société et dont la pertinence nous aura préalablement été démontrée. Nous apporterons également tout notre soutien à nos membres dans leurs éventuelles demandes de réparation si tel devait être le cas.
Du reste, nous vous prions de bien vouloir noter le caractère non confidentiel de ce courrier et dans une démarche préalablement constructive, le souhait que nous avons de vous rencontrer rapidement pour que nous puissions recevoir de votre part les réponses aux questions soulevées.
Nous vous prions dagréer, Mesdames, Messieurs les administrateurs, lexpression de nos salutations respectueuses.
Le Président de lUDAAC Francis Unal
________________________________________
6/ Atos, Document dEnregistrement Universel 2022.

46 réponses

  • 16 septembre 2023 10:02

    Très bien,  vous avez fait un excellent travail En attendant une réaction du CA...


  • 16 septembre 2023 10:06

    C est un gentille lettre. J imagine que vous n en attendez rien et que c est juste pour formaliser la suite c à d obliger le CA A DEFAIRE MENIER


  • 16 septembre 2023 10:20

    Très bon travail. Merci.
    Plus qu à espérer qu ils lisent le tout avec concentration et sérieux.


  • 16 septembre 2023 10:22

    La méthode est plus pragmatique et cartésienne que celle du CIAM : On attaque en premier, et on sexplique après, là cest plutôt : on demande des explications claires et on attaque après, deuxio, Le CIAM agit contre le projet Krétin sans avoir de plan alternatif, sans trop connaître le dossier, et plus grave, il sautorise une AK qui serait une énième dilution, et enfin tersio, et cest très regrettable, le 28.06, il a renouvelé sa confiance à Meunier, après toute cette descente aux enfers.


  • 16 septembre 2023 10:24

    Quel est le cabinet de commissaires aux comptes qui a certifié les comptes? Deloitte ? 


  • 16 septembre 2023 10:37

    Il y a aussi à creuser avec le commissariat, la présentation des comptes nest pas classique, elle est propre à Atos, la notion dEDITBA nest pas respectée et conventionnelle, elle est trompeuse, nous sommes toujours à la limite de lexploitation et de lexceptionnel. De plus fin 2022, ils ont émis simplement des réserves sur la provision Syntel de 8 millions deuros, alors que le risque était beaucoup plus important, ils devaient refuser tout simplement de certifier les comptes. Je passe le fait ultra connu, que le rachat de syntel par Breton, se fait SANS GARANTIE DE PASSIF, alors que ceux-ci ont une action connue contre eux depuis plus de 2ans.


  • 16 septembre 2023 10:42

    Très bonne requête. Le costume est bcp trop grand pour Meunier. Par pitié, quil se retire


  • 16 septembre 2023 11:04

    Lexemple le plus marquant est celui du creusement à 900 millions du BFR au S1 2023, alors que le CA remonte, les marges aussi, il était de -383 millions au S1 2022, on constitue bien une trésorerie pour la filer à Kretin, sans PW le 28.06 : il y a bien manipulation et tromperie avérée, normalement lUDAAC est sur un fromage : les questions sont bien formulées, on veut avoir un audit exact des comptes, des contrats, bref de rentabilité.


  • 16 septembre 2023 13:41

    "qui nous ont confiés", tout se perd.
    Sur le fond de la lettre, bravo.


  • 16 septembre 2023 14:00

    Tous les actionnaires  comprendront ce courrier 

    Bravo lettre très bien structurée .  tous les points  
    Litigieux sont  notes  
    On verra  après l expertise  . demander par les syndicats 
    Vous devriez envoyer ce courrier aux syndicats d atos ! 
    Puisque votre courrier n est pasconfidentiel  !


  • 16 septembre 2023 15:36

    Bravo
    Sil ny a aucune réponse, ce que je crois, au moins ce sera acté. Excellente référence de leur avocate.
    Pourquoi ne pas lenvoyer aussi à Edouard Philippe, tres au courant puisque au CA dAtos..
    Cest bizarre comme personne nen parle alors quil multiplie les meetings pour être futur candidat à la Présidentielle ?


  • 16 septembre 2023 16:57

    Le parquet national financier a reçu une plainte  :

    Au Havre, Édouard Philippe visé par une plainte pour 
    " favoritisme, prise illégale d'intérêt, détournement de biens..."

    Rien pour Édouard Philippe chez Atos, mais ça pourrait arriver...


  • 16 septembre 2023 16:59

    "Prise illégale d'intérêts, détournement de biens, favoritisme, concussion et harcèlement moral", la plainte déposée, jeudi 14 septembre 2023, auprès du PNF (Parquet National Financier) par l'ancienne directrice générale adjointe de la Communauté urbaine du Havre (Seine-Maritime), pourrait-elle déstabiliser Édouard Philippe, l'actuel édile de la ville et ancien premier ministre ?


     L'information a été divulguée par nos confrères du Monde jeudi soir. La plainte vise sans ambages Édouard Philippe et Stéphanie de Bazelaire, adjointe au maire et conseillère communautaire, et ciblerait aussi selon Le Monde, Claire-Sophie Tasias, directrice générale des services au sein de la Communauté urbaine du Havre. "


  • 16 septembre 2023 17:04

    Édouard Philippe a engrangé  combien  chez Atos ?

    Et il a quitté  le Conseil d'administration, très discrètement, juste avant le désastre !


  • 16 septembre 2023 17:59

    "ATOS : COURRIER ENVOYÉ PAR L'UDAAC À MEUNIER ET AU CA 11.09.23"

    Le courrier a été adressé aux membres du CA.

    Je crois comprendre qu'il n'est pas adressé à Meunier. De toute façon il ne la comprendrait pas.


  • 16 septembre 2023 18:53

    DRJ9156 oui il ne la comprendra pas, mais elle lui est particulièrement destinée, étant président du CA


  • 16 septembre 2023 20:51

    Merci pour votre travail

    Chez Atos c'est une pratique courante de trouver des Exceptionnels a la dernière minute tant au niveau compta globale comme sur chaque projet.
    Le dernier arrivé rencontre la gabegie laissée para le précédent gérant et est obligé d'étendre dans le temps la perte/dette pour la rembourser.

    Ce que vous mentionnez sur une comparaison  entre les 2 résultats prévisionnels avec ou sans cession est primordial. Eviden dépasserait probablement les covenant bancaires avec son EBITDA si toute la dette lui revient. Faillite garantie.

    Et surtout, a quoi sert une AK de 900 millions sur Eviden si:
    - 1 milliard va atterrir dans les caisses de TechFoundation
    - les frais de cabinets de conseil, banques, agences de communication sur les 5 dernières années sont supérieurs à 900 millions. Seulement en  supprimant ces dépenses, avec un board competent, on garderait ce cash pour des investissements productifs.


  • 16 septembre 2023 21:05

    bravo l' UDAAC !  j'ai lu que Mtre Sophie Vermeille va s'occuper du dossier.
    Maintenant il faut des adhésions massives pour pouvoir "peser"..
    Merci pour votre investissement. Force et Honneur


  • 16 septembre 2023 21:42

    Connaissant meunier ca restera lettre morte 


  • 16 septembre 2023 22:15

    Les lettres avec accusé de réception sont rarement des lettres mortes


  • 16 septembre 2023 22:59

    Si pas d'alliance entre l'UDAAC et CIAM, ça ne fonctionnera pas.


  • 16 septembre 2023 23:11

    L'UDAAC et CIAM sont à se stade des "lanceur d'alerte"
    Il faut espérer qu'une aide arrive de + haut


  • 17 septembre 2023 00:26

    Merci l'UDAAC 


  • 17 septembre 2023 08:46

    OK. A suivre. Attendons la réponse.


  • 17 septembre 2023 08:51

    Il semblerait que la réponse soit un fou rire de Meunier...


  • 17 septembre 2023 09:02

    J'espère que ça va rester lettre morte car ce sera la grosse Berta dans ce cas.

    Mais je pense plutôt que ça sera une réponse de blabla. 

    Le courrier a été envoyé, selon mes informations à Bertrand Meunier et à tout le conseil, pour que le conseil sache que les griefs de l'UDAAC vont tout autant à eux qu'à Meunier.


  • 17 septembre 2023 09:43

    CHALLENGES
    Linterview donnée à La Tribune par le président du Conseil dadministration dAtos, Bertrand Meunier, na pas vraiment calmé les ardeurs de ceux qui sopposent à la cession dune partie du groupe à Daniel Kretinsky. Au contraire, les initiatives des syndicats, groupes dactionnaires, associations, fonds dinvestissement et politiques se multiplient.
    Par Régis Soubrouillard le 15.09.2023 à 10h00.
    Le dossier de la vente dune partie dAtos au milliardaire tchèque Daniel Kretinsky nen finit pas dagiter les milieux politiques et financiers de la place de Paris. Et manifestement, ce nest pas linterview du président du conseil dadministration du groupe, Bertrand Meunier, à La Tribune en début de semaine, qui a permis datténuer lirritation certaine suscitée par ce dossier. Certains observateurs notent que le cours de Bourse de lentreprise a presque encore perdu 10% depuis linterview du « patron » dAtos. Sans oublier que lagence S&P avait prévenu au cours du mois daoût quelle pourrait abaisser la note dAtos sur le crédit à long terme quand lopération sera finalisée. Cest dire si les marchés nont pas été rassurés par linitiative. Et le combat de ceux qui ne veulent pas laisser le board dAtos finaliser tranquillement ses opérations se déroule désormais à différents niveaux,
    Le fonds CIAM est entré dans la bataille le 12 septembre en adressant une lettre au conseil dadministration dAtos SE et à lAutorité des Marchés Financiers (AMF), dans laquelle il dénonce les conditions envisagées pour la cession de Tech Foundations à Daniel Kretinsky ainsi que les irrégularités dans la communication et la gouvernance du groupe.
    LIRE AUSSI : Atos : comment le Made in France sest fait coiffer sur le poteau par Kretinsky
    Les directrices de ce fonds, Catherine Berjal et Anne-Sophie dAndlau, déclarent ainsi que « la modification du plan de transformation décidée par le conseil dadministration afin de céder lactivité Tech Foundations à Monsieur Kretinsky est défavorable à la société et à ses actionnaires. Nous reconnaissons la nécessité dune augmentation de capital pour financer la restructuration de Tech Foundations seulement si cette activité prometteuse demeure dans le périmètre des actifs sociaux ». Elles sopposent ainsi à « la mise en œuvre de ce plan ainsi quà toute proposition qui conduirait à la dépossession des actionnaires dAtos SE sans un juste partage de valeur ».
    LUdaac envisage de porter plainte contre le board dAtos
    Et loffensive nen est encore quà ses débuts. Selon nos informations, les élus du CSEC (comité social et économique central) dAtos ont voté, le 8 septembre dernier, à lunanimité en faveur dune expertise indépendante pour tenter dévaluer limpact de la vente de Tech Foundations à Daniel Kretinsky sur la survie de lentreprise. Cest le cabinet dexpertise et de conseil Syncea qui devrait réaliser cette expertise. Linitiative fait suite à la présentation par la direction dAtos de son plan de cession de Tech Foundations aux représentants des salariés. Une présentation qui na manifestement rassuré personne puisque même la CFDT, qui nassistait pas à la réunion, sest associée à ce recours. La mission du cabinet est de procéder à lanalyse économique et stratégique du projet, ainsi quà lanalyse des différents risques financiers et sociaux liés à cette cession.
    Par ailleurs, lUdaac (Union des Actionnaires dAtos en Colère) que dirige Hervé Lecesne, le plus important petit actionnaire du groupe, envisage toujours de porter plainte auprès de lAMF contre la direction dAtos. Des petits actionnaires, hors Udaac, militent également pour le dépôt dune plainte contre lAdam (Caroline Ruellan qui préside lassociation des actionnaires minoritaires est présente au Conseil dadministration dAtos depuis juillet 2022). Les premières actions légales pourraient être engagées dans les semaines qui viennent. LUdaac a aussi adressé un courrier à Bertrand Meunier et individuellement à lensemble des membres du board, en début de semaine, pour demander des comptes à la gouvernance. Elle cherche à obtenir de la part du conseil dadministration deux prévisionnels comparés prouvant lintérêt financier de la cession à Kretinsky.
    Une commission denquête sur le dossier Atos ?
    LUdaac travaille également à lélaboration dun plan B qui se veut alternatif à la candidature Kretinsky. Lidée serait, pour Tech Foundations, de sortir du marché américain pour participer à la consolidation de linfogérance en Europe et de renforcer la présence dactionnaires français (type Airbus, Thales) pour les activités stratégiques dAtos.
    Enfin, du côté politique, les sénateurs nont pas abandonné lidée de créer une commission denquête parlementaire. Initiative portée initialement par le sénateur du Territoire de Belfort Cédric Perrin, vice-président de la commission des affaires étrangères et de la défense, et désormais soutenue par Olivier Marleix, le patron des députés LR à lassemblée
    nationale.
    https://www.challenges.fr/entreprise/atos-la-resistance-a-la-cession -a-kretinsky-s-organise_867321


  • 17 septembre 2023 09:54

    Les Echos 

     Des minoritaires ont adressé une lettre au conseil dadministration du groupe français. Ils réclament la publication de certains documents relatifs à la cession des activités dinfogérance à Daniel Kretinsky et sétonnent de carences dans la communication financière.
    Par Laurence Boisseau

    Publié le 13 sept. 2023 à 15:48Mis à jour le 13 sept. 2023 à 18:32
    Entre Atos et ses actionnaires, le courant ne passe plus. Après le hedge fund CIAM qui vient de lancer une campagne pour faire capoter le plan de cession des activités dinfogérance au milliardaire tchèque Daniel Kretinsky, une association dactionnaires minoritaires demande des comptes au conseil dadministration dAtos.

    Dans une lettre adressée aux administrateurs lundi dernier, lUDAAC (Union des Actionnaires dAtos Constructifs) veut plus de transparence sur la transaction qui a été annoncée le 1er août et qui prévoit la cession à Daniel Kretinsky de Tech Foundations, les « vieux » métiers dinfogérance dAtos. Elle insiste pour que certains documents soient rendus publics sans attendre. Parmi ces documents, laccord précisant la transaction et justifiant louverture de négociations exclusives, le rapport de lexpert indépendant, le business plan de la société et les projets daccords de transition entre Tech Foundations et Eviden. Les minoritaires réclament que la cession de Tech Foundations qui va saccompagner dune augmentation de capital fasse aussi lobjet dun vote contraignant en assemblée générale des actionnaires.

    LIRE AUSSI : Atos : la cession à Kretinsky mute en dossier explosif
    Cest fin août que lUDAAC (Union des Actionnaires dAtos Constructifs) sest constituée pour défendre lintérêt des actionnaires (particuliers comme institutionnels) qui sestiment lésés par les agissements des directions successives de la société. Au sein de son bureau, siègent cinq personnes dont deux commissaires aux comptes, et un ancien cadre dirigeant dAtos. Hervé Lecesne, PDG de Nactis Flavours, et investisseur de long terme sur Atos, en est aussi membre. En juin dernier, il avait déclaré, à lAutorité des Marchés Financiers, agir de concert avec la société de gestion Sycomore, spécialiste de linvestissement socialement responsable.

    Restructuration du conseil dadministration
    Outre plus de transparence, les actionnaires minoritaires réclament aussi une restructuration du conseil dadministration, avec lentrée de nouveaux membres indépendants. Cette restructuration est selon eux « plus indispensable encore aujourdhui quavant lassemblée générale de juin dernier ». En juin dernier, Sycomore avait proposé la nomination de Léo Apotheker , membre du conseil dadministration de Schneider Electric comme président en lieu et place de Bertrand Meunier. Cette résolution avait alors été rejetée à 67,38 % par les votants.

    Enfin, lassociation pointe du doigt ce quelle estime être « des carences de communication financière ». Elle sétonne des imprécisions sur la nature de près de 2 milliards deuros de dettes (hors dettes bancaires) qui viennent diminuer le prix de cession, et évoque des problèmes de communication sur la situation financière du groupe. Elle ne comprend pas non plus pourquoi les résultats semestriels dont la publication le 28 juillet dernier a entraîné une chute du cours de plus de 20 % le jour même nont pas fait lobjet dun avertissement sur résultats précédemment.

    « Il est indispensable que les membres indépendants du conseil dadministration, chapeautés par Monsieur René Proglio en sa qualité de président du comité des comptes et aidées dun cabinet daudit indépendant de renommée internationale, mettent en oeuvre une mission daudit interne », écrit le président de lUDAAC, Francis Unal.

    Contacté par « Les Echos », Atos na pas souhaité faire de commentaire sur cette lettre adressée au conseil dadministration.

    Laurence Boisseau


  • 17 septembre 2023 10:25

    Et Sud Radio le 16.09.23

    Pas par la force du saint esprit, mais par un entretien préalable de 30 minutes de lUDAAC qui est cité, avec Didier TESTOT.


  • 17 septembre 2023 11:25

    Meunier n a peur de rien il pense etre soutenu, par contre les administrateurs qui vont etre attaques individuellement ne vont pas etre serein certains vont craquer et deballer 


  • 17 septembre 2023 11:49

    Réponse ahurissante des DG


  • 17 septembre 2023 11:58

    Jo2024
    11:49
    Réponse ahurissante des DG

    Réponses ? 


  • 17 septembre 2023 12:20

    Tous ces conseilleurs ne sont pas les payeurs. Et leurs intentions ne sont pas clairement exprimées. Les plus à même de prendre des décisions ne respectent pas les actionnaires. Mon sentiment est qu'on est mal barré, dans tous les sens du terme. Et je vote contre cette direction quelque soit ces intentions.


  • 17 septembre 2023 12:59

    Cette lettre est très bien mais serait à adresser au moins en copie à tous les anciens dirigeants ou hauts cadres de Atos, pour les informer que leur responsabilité personnelle n'est pas dégagée dans le désastre Meunier, et qu'ils devraient s'en préoccuper fortement.


  • 17 septembre 2023 13:40

    Le courrier de Bihmane & Olivia  est d'un ridicule achevé. Ils sont à mettre dans le même sac que Meunier


  • 17 septembre 2023 14:53

    C'est quoi ce courrier, vous avez un lien svp ? 


  • 18 septembre 2023 08:00

    le courrier de Bihmane & Olivia est sur le blog


  • 18 septembre 2023 09:07

    Merci bstek


  • 18 septembre 2023 09:36

    Bonjour @L5439293. Je viens de lire sur votre blog la lettre de Bihmane et Oliva. Franchement je suis scandalisé. Avant cela j'appréciai Bihmane, mais vouloir faire taire le blog sous prétexte de défense des femmes ... Cette direction s'enfonce de plus en plus dans la médiocrité.
    Encore merci pour votre travail et votre blog qui semble les déranger. Et si ca les dérange c'est pas anodin 
    Leur stratégie me fait penser à celles des politiciens, qui lancent des débats pour masquer les vrais problèmes.


  • 18 septembre 2023 09:37

    Je trouve la lettre un peu violente , 
    la description de la situation d'atos risque de faire peur aux actionnaires 


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