ATOS : La BPI serait prêt a investir...

Homiz

29 février 2024 •14:26

Billionaire Daniel Kretinsky is weighing a renewed takeover offer for parts of Atos SE after walking away from a previous bid for a unit of the embattled French IT company, people familiar with the matter said.

Kretinsky’s decision may depend on whether Atos’ court-appointed mediator asks his group to take part in ongoing discussions with creditors about refinancing the tech company’s debt and restructuring its business, the people said, asking not to be identified because the deliberations are private.

Atos’ biggest shareholder, Onepoint, has also expressed interest in a potential bid as part of these discussions, one of the people said. The considerations are at an early stage and may not result in bids, they said. The prospective offers were reported earlier by BFM.

The French public investment bank Bpifrance is also interested in investing in some healthy parts of the business, according to people familiar with its plans. This marks a shift from the bank’s earlier position: It had previously told Atos investors it did not want to take a stake because its leadership and M&A strategy were in flux, the people said.

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Representatives for Atos, Kretinsky and BPifrance declined to comment. Onepoint didn’t immediately return a request for comment.

Atos has been holding discussions to sell off assets as it looks for ways to pay off billions of euros in debt. The company said this week that talks with Kretinsky’s EPEI over the sale of its legacy IT services unit, Tech Foundations, had ended when the two parties failed to agree on terms and pricing. Airbus SE is also in discussions about buying Atos’ big data and cybersecurity businesses.

The fate of Atos is now in the hands of a court-appointed mediator, Helene Bourbouloux, who will discuss options with the banks of the highly indebted group. France’s finance ministry is also involved in overseeing the process as the government seeks to keep strategic assets under French ownership.

Atos named three new directors to its board this week. They include Onepoint’s founder David Layani and Helen Lee Bouygues, president of LB Associés and a corporate restructuring expert, the company said in a statement on Thursday.

gump32

29 février 2024 •14:50

Mais par quel éclair de génie cette décision arriverait maintenant alors que ca fait des mois qu'on espère une intervention de la BPI ?

Je pense que Mc Kinsley ou Rotchild ont donné leur accords  pour que la BPI rentre au capital de Atos suite a l'echec du deal Kretinsky (perte pour Rotchild) et au plan raté d'introduction en bourse de Eviden (dont mc kinsley a vendu a Atos des centaines de millions pour un resultat catastrophique). 

M7689492

29 février 2024 •14:51

Cher ami, cher Map, je vous recommande du repos. 

namor190

29 février 2024 •15:01

Map les insultes sont l'apanage des faibles.
Vous annonciez hier votre départ.  Là aussi vous seriez vous trompé ?

M9493249

29 février 2024 •15:08

Map disparaît vi pe re

Karenca66

29 février 2024 •16:03

LA BPI SERAIT PRÊT A INVESTIR...
Ah, encore une bonne nouvelle que le marché apprécie à sa juste valeur: -2,5%. 😭

zian

29 février 2024 •17:19

Comment la BPI peut-elle investir dans certaines parties seulement d'ATOS ?
Le plus simple serait qu'elle rentre au marché sur le titre.
La BPI a un gros coup à faire techniquement pour un investissement minime : faire s'emballer le rachat du short.

Off86

29 février 2024 •17:30

La BPI n'est pas un fond de trading. Il faut arrêter de tout confondre. Bien sûr que cela apparait grotesque Atos à 250 millions quand elle suit correctement son chemin de la restructuration. 

Enfin, la BPI a toujours été intéressé par certains actifs d'Atos (qu'Atos ne voulait pas vendre).
Enfin elle peut investir en apportant des quasi fond propres sans dilution mais en sécurisant via les actifs qu'elle veut. Elle agit alors comme "prêteuse", reçoit des intérêts, mais est protégée par la sécurisation des actifs.

D'un point de vue médiatique, je ne pense pas que Macron se permette de vendre Casino ET une grande partie d'Atos à Daniel K. C'est comme faire un cadeau à l'opposition politique et poursuivre ses erreurs passées. Une dette de 2,5 milliards n'est pas un argument suffisant pour ce qu'on considère être une des deux sociétés au coeur des données françaises. 

map

29 février 2024 •17:59

C'est totalement faux Off86 Il n'y a aucune déclaration d'intérêt de la BPI sur des actifs qu'Atos ne voulait pas vendre.

map

29 février 2024 •18:02

Tu es un mito off86 Personne ne voulait de Casino et l'offre de Niel était pipot 250M€ de New money seulement. S'il y a en a qui avait les yeux plus gros que le ventre c'était Niel, pas Kretinsky.

On aurait enfin la boite bien gérée et je vois pas pour quelle raison tu critiques Kretinsky. Casino a pu être sauvé et la partie est loin d'être gagnée pour lui et idem pour Atos s'il rachète.

zouzou17

29 février 2024 •18:32

Maintenant qu'il est clair qu'Atos est une grande entreprise résiliente avec des contrats et des salariés toujours sur le pont les investisseurs comprennent que ça peut être une très bonne affaire.
Les financiers flairent le retournement lucratif.

Off86

29 février 2024 •18:33

Enfin je ne critique pas Daniel K., vous devez mal comprendre et vous montrez par là vos faiblesses cognitives.

Je fais part de l'effet de vendre deux actifs importants (un dont le problème relève de la masse salariale), et l'autre qui relève d'une vitrine technologique avec des fantasmes quant à la souveraineté. 
C'est juste ce constat. 
A force de croire que vous avez le talent d'un écrivain, vous n'avez même plus le niveau d'un simple lecteur.

De toute façon, en raison du BFR, de la restructuration, il risque pour Atos d'y avoir un sérieux problème de trésorerie. Si Atos nécessite encore 300 à 400 millions de BFR, un simple revirement et ils violent les covenants. Occasion rêvée alors pour engager un processus dilatoire. 

Juste à la différence de vous, map, je ne plaque pas mes fantasmes sur la réalité en me prenant pour une forme de divinité. A chaque étape, ses observations.
Je ne remplace pas 22 banques, le monde obligataire, les fonds technologiques, etc. 
Je ne sais même pas encore comment ils ont un FCF négatif d'1 milliard puisqu'historiquement ils doivent récupérer au S2 quelques millions du BFR du S1. Donc comme tout le monde j'attends. Par contre que la BPI veuille deux trois start up d'Atos, ça me paraît tellement évident, que cela serait une faute lourde si ce n'était pas le cas. Rien que les supercalculateurs. 

zouzou17

01 mars 2024 •09:40

Atos va finir par brûler ce gouvernement. Il serait effectivement mieux d'anticiper à travers la BPI.
Un action des employés bau moment de grande visibilité des JO laisserait des séquelles politiques

Off86

01 mars 2024 •09:46

Mais mon hypothèse reste minimale, c'est juste par exemple pour les quelques actifs que la BPI souhaite, elle introduit via des quasi fonds propres. Cela peut être une somme comme 300 millions, 500 millions. Et elle agit comme "prêteur" avec actifs sécurisés.

Rien de si farfelu pour que map se déchaîne.
Quand on sait qu'Atos a acheté des actifs encore en 2021/2022 pour 500 millions. Je ne vois pas en quoi Cloudreach n'a plus de valeur. 

zian

01 mars 2024 •13:21

Off86 "La BPI n'est pas un fond de trading" en effet, mais j'imagine que ses positions ne sont pas seulement les obligs que vous mentionnez. Il doit lui être possible d'être aussi actionnaire, mais peut-être pas sur le marché ? Mais par achat de blocs avec d'autres institutionnels ?
J'ai déjà vu la BPI dans la liste des actionnaires d'entreprises.

queb63

01 mars 2024 •20:38

Map on vous voit partout sur le fofo atos de bourso? Vous n'avez plus personne sur votre blog pour discuter?

BROKER-K11

08 mars 2024 •20:20

Grosse annonce semaine prochaine ? BPI ?