Aller au contenu principal Activer le contraste adaptéDésactiver le contraste adapté
Plus de 40 000 produits accessibles à 0€ de frais de courtage
Découvrir Boursomarkets
Fermer
Forum ATOS
2.0900 (c) EUR
-1.55% 
Ouverture théorique 2.0900
indice de référenceSBF 120

FR0000051732 ATO

Euronext Paris données temps réel
Chargement...
  • ouverture

    2.1230

  • clôture veille

    2.1230

  • + haut

    2.1400

  • + bas

    2.0500

  • volume

    1 214 595

  • capital échangé

    1.09%

  • valorisation

    233 MEUR

  • dernier échange

    17.05.24 / 17:39:35

  • limite à la baisse

    Qu'est-ce qu'une limite à la hausse/baisse ?

    Fermer

    1.9855

  • limite à la hausse

    Qu'est-ce qu'une limite à la hausse/baisse ?

    Fermer

    2.1940

  • rendement estimé 2024

    -

  • PER estimé 2024

    Qu'est-ce que le PER ?

    Fermer

    1.50

  • dernier dividende

    A quoi correspond le montant du dernier dividende versé ?

    Fermer

    -

  • date dernier dividende

    24.05.23

  • Éligibilité

    Qu'est-ce que le SRD ?

    Fermer

    Qu'est-ce que le PEA ?

    Fermer

    Qu'est-ce que le service Horaires étendus ?

    Fermer
  • Risque ESG

    Qu'est-ce que le risque ESG ?

    Fermer

    14.2/100 (faible)

  • + Alerte

  • + Portefeuille

  • + Liste

Retour au sujet ATOS

ATOS : EFFET PAPILLON !

20 janv. 2024 19:39

Tout observateur du cours aura remarqué la cassure de l'ex-support (5,738 € cf. EURONEXT) en date du 11 janvier.

Cette cassure est cruciale puisqu'elle ouvrait un grand terrain de jeu pour les spéculateurs avec en ligne de mire le + bas enregistré à la clôture du 23 octobre (4,637) : Soit une amplitude de 1,10 €.
Pourtant, depuis le communiqué du 3 Janvier plutôt rassurant en cette période de voeux, et à défaut de mauvaise nouvelle on pouvait escompter que ce plancher résistât.

Que s'est-il donc passé ce 11 janvier ?...

Le 11 janvier on apprenait qu'en réalité Goldman Sachs était "bearish" depuis le début de l'année, ayant le 8/01 franchi à la baisse le seuil des 5 %. Il n'en fallait guère plus pour casser le support des 5,74 qui sonnera comme un top départ pour les spéculateurs.
Je passe sur la communication désastreuse d'ATOS du 15/10, celle-ci échouant à résorber un important gap de 56 cents à l'ouverture.
Mais surtout qu'apprendra-t-on immédiatement après cette funeste séance ?

ÉPILOGUE :
Le 16/01 était publié un nouveau franchissement de seuil, cette fois à la hausse et ce en date du 10/01.
Le 10 janvier c'était la veille de la cassure du support, or le détail de la position indique un fort pourcentage de titres prêtés à la V.A.D. Le plancher à mon avis ne pouvait donc que céder ! C.Q.F.D

Quelle était donc la stratégie des traders de G.S, et n'ont-ils pas joué les apprentis sorciers ?

Curieusement on s'aperçoit maintenant à la lecture de leur dernière déclaration (17/01) que le 11 janvier (jour de la cassure), les "right to recall" furent de manière expéditive réduits à la portion congrue (0,06 %) et ce en une unique séance.
Ce "machine arrière toute" est-il l'aveu d'une erreur de stratégie, ou n'est-ce qu'une tartufferie ?
Vos avis m'intéressent : Prenez garde toutefois que les dates de déclaration auprès de l'A.M.F interviennent toujours dans le délai de 4 séances de bourse, ce qui complique l'interprétation des faits.

15 réponses

  • 20 janvier 2024 19:45

    😴😴😴 t'adores brasser de l'air toi décidément... c'est sur Dyson que tu devrais investir. 


  • 20 janvier 2024 19:52

    PERplexe13 : Nous n'avons pas gardé les cochons ensemble ! (et je m'en garderais bien)

    Par ailleurs il me semble vous avoir "esquintée" sur un précédent post. Seriez-vous un tantinet rancunière ?


  • 20 janvier 2024 20:06

    AmIwrong 😂😂 pourriez-vous me rappeler ce soit disant esquintage ?? Beaucoup de mes posts sont effacés. 


  • 20 janvier 2024 21:25

    Bonsoir AmIwrong , ce n’est que mon avis, je ne sais rien des intentions réelles de GS mais depuis l’équity swap de JPM, je considère GS comme:

     -informé de l’intérieur des négociations en cours et donc
    -partie prenante au canal 6€-8€ des derniers mois
     -sous commandite pour faire passer des quantités contrôlées de titres en sessions hors marché
    -à l’incitative de la VAD
    -à l’initiative par certains contrats (dont certains que vous citez) pour provoquer volontairement une sortie brusque et violente du titre hors de ce canal à un moment précis des négociations: le entre le 10 et 11 Janvier 2024.


     J’ai ajusté ma stratégie de renforcement à cette date et je reste sur mon interprétation de ce qui se joue actuellement.

    Tout ce qui a découlé de ce mouvement était su de JPM grâce à leur equity swap, et donc du CA car JPM en a informé Atos. Et donc Atos à ajusté sa stratégie en connaissance de cause.


    Tout le mouvement de VAD, obligations, notation sont la conséquence de ce mouvement de panique provoqué sciemment par GS et son commanditaire.


     Atos se défend comme un lion face a un prédateur puissant et sournois, les autres prédateurs profitant de cette bataille pour obtenir un bout de notre bien.

    Nous sommes dans la partie décisive de la bataille, tout se gagne ou se perd en ce moment. 

    Voila mon interprétation de la stratégie de GS après 5 mois d’observation et d’analyse à plusieurs…


  • 21 janvier 2024 07:11

    Nota bene: cette guerre financière et médiatique n’a que trop duré, beaucoup ont souffert des errements de certains dirigeants passés. J’espère que les banques admettront leur défaite et signeront l’armistice, par respect pour le commanditaire qui n’a eu d’autre choix que cette stratégie pour contraindre l’alliance des armées en face. Atos doit survivre et être libre de mieux servir les intérêts des salariés, des clients et des investisseurs qui ont cru en elle dans toute cette tourmente. 

    Gageons que Atos sorte vainqueur de ces négociations pour repartir plus sereinement, trop de dégâts déjà 


  • 21 janvier 2024 07:52

    Bon Dimanche à vous deux il nous faudra du courage pour Lundi 😎


  • 21 janvier 2024 09:09

    Merci @simoune, nous en aurons besoin car nous sommes face à des créanciers aux intérêts douteux. 

    Le dernier Alter Eco éclaire très bien sur la genèse de l’affaire. Et les créanciers ont décidé de se payer sur notre dos, je reconnais à Map d’avoir très bien su comprendre que les créanciers avaient pris le pouvoir sur Atos ces dernières années.

    Je croise les doigts pour l’issue de cette négociation.

    D’abord sauver Atos est la priorité mais ce n’est que le début car je soutiens à fond la démarche d’Alix, il est temps que la vérité éclate sur certains agissements 


  • 21 janvier 2024 10:40

    Effet papillon est plus vaste que ta micro-histoire de cours. L’effet papillon pose la question des actifs à la disposition des actionnaires et de leurs dirigeants choisis par les actionnaires. Comment avec 16 milliards d’actifs les dirigeants arrivent à sortir 4,5 milliards de pertes en 2 exercices 1/2 ? Donnez tant d’argent pour le gâcher ainsi est votre erreur. 


  • 21 janvier 2024 13:02

    victorda : Bonjour Victor.

    Je ne comprends pas pourquoi vous évoquez JP MORGAN dans votre raisonnement.
    JPM est certes une banque importante pour ATOS, c'est même un partenaire puisqu'elle soutenait avec BNP le projet de cession en assurant la souscription totale à l'A.K qui devait intervenir en 2024 (cf communiqué ATOS du 1er aout).
    Or on apprenait le 29/11 que JPM avait cédé le total de sa participation : Soit au minimum un bloc de 3,31% ou au maximum 5,09% si on émet une hypothétique conversion du dénouement des swaps, en actions plutôt qu'en espèces.

    D.K ayant été surpris par l'arrivée de LAYANI au tour de table (5,80 % début novembre), on peut envisager qu'il ait également mis la main au portefeuille tout en se gardant bien de franchir le seuil déclaratif des 5 %.
    Bien entendu tout ceci n'est que supputation, voire "élucubration" de ma part, si on considère que LAYANI ne s'opposait pas réellement à la cession de TFco, hormis quelques ajustements.

    Cependant, de l'eau ayant coulé sous les ponts, on apprenait le 13 décembre que LAYANI avait maintenant franchi les 10 % du K devenant ainsi l'actionnaire principal, et de facto beaucoup moins conciliant quant à la cession de TFco, a fortiori quand il a eu largement le temps d'apprécier la valeur de ces actifs.
    A mon sens le deal avec D.K a pris du plomb dans l'aile.

    Récemment le marché apprenait que le C.A avait rehaussé sérieusement le prix de cession (500 millions au lieu de 100) et que des garanties devaient être supportées par l'acquéreur concernant les dépassements de coûts de certains contrats en cours.
    Il est possible que D.K jette l'éponge, on devrait le savoir assez vite.

    Bon, le décor état planté, ce sont les multiples déclarations de franchissement de seuil de Goldman Sachs qui m'ont interpellé, soufflant alternativement le froid et le chaud, et bien entendu pour des gains de trading à CT.
    A cet égard j'ai utilisé le qualificatif d'apprenti sorcier, dans la mesure où il aurait perdu le contrôle, ce qui somme tout n'est pas aussi cruel que cela.
    En revanche s'il y avait volonté délibérée de démolir le cours de l'action, il en serait tout autrement.


  • 21 janvier 2024 13:48

    Bonjour M3272884, je ne remets pas en questions des dérives et des connivences qui dépassent uniquement le spectre d’Atos.
    J’entends bien que nous sommes adultes et responsables de nos investissements. Toutefois, permettez moi que cela doit être fait dans la transparence et la probité. Des audits, des engagement comptables, des déclarations ont été faites par des dirigeants, des conseils aux devoirs de contrôle et managements (qui ne sont pas nommés par les actionnaires chez Atos, ne vous en déplaise) qui a de multiples reprises ont MENTI. Hors, vous supposez que nous soyons dans l’erreur de les avoir crus, mais monsieur, si nous ne pouvons croire chiffres, organismes et déclarations, qui devons nous croire? Cela veut donc dire que vous dénoncez une capitalisme far west pour laquelle personne ne peut investir en se fiant aux chiffes et que nous devrions tous sortir de la bourse car toute entreprise est susceptible de nous mentir.
    Voilà en substance ce que vous nous dites. Donc si notre erreur a été de croire les mensonges des dernières années (je ne parle pas des derniers mois, nous sommes tous scotchés par les révélations), alors oui, j’assume pour ma part mon erreur d’avoir cru en cette entreprise et les informations à disposition à ce moment.


  • 21 janvier 2024 13:57

    M3272884 : D'abord nous n'avons pas élevé les cochons ensemble (et je m'en garderais bien).
    Enfin le qualificatif de "micro-histoire de cours" (sic) révèle votre suffisance, et je suis aimable !

    Faut-il vous rappeler que depuis la cassure du support (5,738) le cours a flirté avec les 3,22 € : Résultat des courses, une dégringolade de 40 % si on se réfère au seul cours de clôture de la semaine.

    Les lecteurs apprécieront.....


  • 21 janvier 2024 14:40

    Bonjour AmIwrong ,

    En soi, lorsque j'évoque l’équity swap de JPM, qui a été liquidé comme vous le précisez, c’est qu’il n’est pas en lien avec la stratégie de GS mais que comme vous, je suppose autant « l’apprenti sorcier » (car nous ne faisons que supposer, nous ne savons rien) qu’une volonté délibérée… 

    Du coup, dans la volonté délibéré, ce mouvement de JPM (que vous rappelez a juste titre comme partenaire des créanciers et/ou du CA d’Atos, donc pas de associé à la possible commandite de GS), acte isolé et intrigant (par les dates et les possibles pertes encaissées) s’éclaire. Car lors d’un equity swap, on parie à la hausse en échangeant sur des titres détenus par un autre. Dans un autre langage, JPM, (sous commandite?) a payé pour voir le jeu de celui derrière GS.
    Et la, comme vous dites, ça change le scénario et aboutit à l’issue des négociations avec les créanciers, une issue avec seulement 2 choix possibles. Des créanciers qui avaient tout pouvoir jusque là et qui aujourd’hui doivent bien choisir, cette issue n’était pas du tout dans leurs plans mais l’étaient dans ceux de quelqu’un?


  • 21 janvier 2024 16:24

    L'effet dit "papillon" s'applique lorsqu'une cause infinitésimale finit par produire un effet gigantesque.
    Quel rapport avec ce qui est écrit / décrit  ici, si passionnant soit-il ?


  • 21 janvier 2024 19:57

    La remontada fera d’atos la valeur de l’année 2024! Avec + 300 % ! 


  • 21 janvier 2024 20:06

    Shamrock888 : Si un membre malveillant ne signalait pas de manière systématique ma réponse à M3272884 vous auriez eu un début d'explication (5 signalements consécutifs) :
    @ M3272884 : D'abord nous n'avons pas élevé les cochons ensemble (et je m'en garderais bien).
    Quant au fond, le qualificatif de "micro-histoire de cours" (sic) révèle votre suffisance, et je suis aimable !
    Faut-il vous rappeler que depuis la cassure du support (5,738) le cours a flirté avec les 3,22 € : Résultat des courses, une dégringolade de 40 % si on se réfère au seul cours de clôture de la semaine.
    Les lecteurs apprécieront...

    Il est où l'abus ?....


Signaler le message

Fermer

Qui a recommandé ce message ?

Fermer
Retour au sujet ATOS

15 réponses

Mes listes

Cette liste ne contient aucune valeur.