Le Revenu Hebdo n°1496, en kiosque ce vendredi 7 septembre 2018. (© Le Revenu)
Même si la fiscalité des comptes-titres est devenue plus attractive avec la mise en place du prélèvement forfaitaire unique, le PEA demeure un outil incontournable pour gérer un portefeuille boursier dans une optique de moyen à long terme.
Il offre la possibilité d’investir jusqu’à 150.000 euros en actions françaises et européennes, en franchise d’impôts sur les plus-values et les dividendes à condition de conserver son PEA pendant cinq ans. Les gains enregistrés supportent toutefois les prélèvements sociaux (17,2% actuellement).
Raser les montagnes russesLe PEA offre aussi certains avantages, comme la possibilité d’y faire figurer des actions de sociétés non cotées, ou celle de récupérer son capital au bout de huit ans de détention sous forme de rente. Enfin, les gains nets (plus-values et dividendes) ne sont pas taxés à la source, mais au moment des retraits ou de la clôture du plan. C’est un plus indéniable qui incite à gérer activement son plan.
À noter que depuis 2014 le PEA-PME fonctionne sur le même principe que le PEA, mais il se destine spécifiquement aux valeurs petites et moyennes avec un plafond de versement de 75.000 euros.
Pour faire fructifier votre PEA, nous avons retenu dix sociétés, qui correspondent chacune à une thématique boursière (croissance, rendement, retournement, etc.) ou évoluent dans un secteur porteur (luxe, santé, etc.). La diversification
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