Plus de cent entreprises, usines et commerces ont été pillés, incendiés ou détruits après deux nuits d'émeutes, selon la Chambre de commerce et d'industrie de Nouvelle-Calédonie, qui estime les dégâts à plus de 150 millions d'euros. Au micro de France 24, son président, David Guyenne, demande "un retour à l'ordre immédiat pour sécuriser les entreprises" ainsi qu'un "état d'urgence pour que l'on puisse assumer les conséquences économiques plus rapidement pour que la Calédonie reparte".